31 août 2018, 13:17
Réveiller
Etymologie du "regard".
31 août 2018, 13:17
Etymologie du "regard".
24 août 2018, 09:35
Ma boîte de cassoulet est-elle entéléchique ?
23 août 2018, 16:47
(réflexion autour du principe du ruissellement, adage de ce quinquennat)
Pourquoi le politique est sophisme ?
Le sophisme, dans sa gymnastique dialectique, se moque de réalisme et de réalité, il n'est que langage pur, ni idée, ni concept.
23 août 2018, 16:44
Les livres ont toujours un rôle très important dans les récits de magie, d'anticipation, de "fantasy".
Ils contiennent, ils révèlent, ils savent, ils se souviennent, ils emportent...
Je ne sais pas si ça les sert vraiment.
Je ne sais pas si cela sert le goût du livre, du lire, de la lecture, au quotidien, dans la réalité du lecteur.
16 août 2018, 21:42
Quand j'entends cette chanson, je suis projeté à Alençon.
Image précise de la place de la mairie, d'un cheminement vers le jardin des plantes. On prend une allée piétonne, laissant le château à gauche, on enjambe un ruisseau au lit maçonné dans la ville. Cet endroit précis. Je suis enfant. La main dans celle de mes parents.
J'interroge ce rapport.
Ici j'ai vu pour le première fois un couple de cygnes. Je me souviens que le ton de mes parents pour me faire remarquer les oiseaux était suffisamment stupéfait/émerveillé pour me sidérer. Ces oiseaux ont aussitôt acquis un pouvoir onirique sur mon imagination.
D'ailleurs, tout ce qu'on apprend sur le cygne, en grandissant, est édifiant, et nous conserve ainsi dans le tressaillement initial de l'enfant :
Lohengrin, la fidélité, le poids qui devrait l'empêcher de voler, les ailes en cœur, le chant terrible, le vilain petit canard, l'hypothétique cygne noir qui rend modestes les trop définitifs anthropologues...
Cabrel réveille le cygne, l'enfant se promène près du parapet du pont. Il entend le chant lugubre et attachant.
De quoi sommes-nous constitués ?
"Elle marche d'une manière
Qui amuse les passants,
Comme si on vivait pour plaire
Sous leurs applaudissements"
Il écrit décidément très bien.
15 août 2018, 15:16
Dans la société sans temps.
Nos contentements sont de tout petits orgasmes, brefs, sublimes et vains. Un plaisir sans mémoire.
Pas même une trace de bonheur là-dedans.
Rien à bâtir sur ces égoïsmes.
12 août 2018, 13:33
La dialectique est le début de la mauvaise foi
12 août 2018, 11:12
A peine une constatation, à peine une évidence, à peine une révélation :
je crois que je déteste les entreprises multinationales, je crois que je déteste ce que régit le profit et abuse de la communication.
Il n'y a jamais de bonnes intentions, que de l'orientation.
Les objectifs ne sont jamais donnés.
Au-dessus de nos têtes, des serpents vivent heureux.
10 août 2018, 09:54
Regarder Brel comme on regarde un film sentimental.
Émouvoir aux larmes toute une belle jeunesse avec de la justesse et de l’expressivité...
C’est quand même bien plus authentique que n'importe quelle merde hollywoodienne auto-consommable.