28 février 2018, 18:01
Vide-poches
...depuis la dernière fois...
- on n'a pas le début des phrases parfaites
- il faut huit générations pour perdre le sens d'un usage
- Peindre est comme un soleil qui pousse dans le ventre
- ceinture bouilloire rosier arbre à feuilles rouges
- selfie, prolongation du miroir
- citoyen de verre dans un monde liquide
- nivellement émotionnel. Les érudits ont les mêmes fébrilités que les sots
- un homme de peu de mots
- neutralité sonore de la main sur l'épaisse masse de fer. Moins vrai sur la pierre
- construction technologie tourisme
- un ciel ne dure pas éternellement
- temporisation religieuse, micro-suspension, anaérobie. Puis tout reprendre
- la roue de la loi
- Véronique est avocate... "Cool, elle va nous préparer un guacamole"
- normalisation par les algorithmes
- des hommes qui tombent la peur du vide une façon de dire l'art
- ni donner ni recevoir. La mort ce n'est pas la lumière au bout du tunnel, c'est la flamme qui s'éteint complètement. Grotte. Noir complet. Engourdissement
- nos souvenirs sont des gerbes à poser sur des tombes
- Tako-tsubo : le corps qui hurle. Burn-out du coeur
- Si on met de la soupe dans une bouteille d'orangina, est-ce qu'elle sera pétillante ?
- Tout pendant que je pensais à elle, je ne pensais pas à moi. Non que j'avais qqch à oublier ou... à suivre?...
- Ma nuit te cherche sans cesse, Frida Khalo
- Livre d'or expo Cobra : je croyais que c'était une expo sur les serpents. Un peu déçue. Mais c'était bien quand même
- L'abandon dans le couple est à chercher dans l'appartenance. Je ne tiens pas à elle, je la tiens à moi.
- on partirait du principe que le bonheur est un absolu et que la souffrance ne l'est pas
- les créatifs sont à la fois tout et son contraire
- indemnité départ volontaire indiv. DIF mobilisable hors temps scoalire
- Un événement est ce qui advient de ce qui est déjà advenu (Duby). Les mots désignent les choses autant qu'ils les font advenir (Boucheron).
- Accepter avoir peur des autres.
- la capacité à abstraire est ce qui nous reste. La seule nécessité à notre survie...
- pardonner, c'est abandonner sa relation avec l'agresseur. Laisser la charge derrière soi.
- la danse n'est pas aérienne.On saute en vain vers le ciel. La terre nous écrase toujours.
- Blas de Roblès, Vinay, Kunieman, Bergougnoux, Marquez
- Toccata en fa majeur de Widor
- Photo Fujimoto
- l'odeur des bacs à eau et des savons jaunes ovoïdes des écoles
- difficile de dessiner ses yeux
- cette photo est une odeur
- la première fois qu'elles ont du plaisir, la plupart des femmes n'en ont pas (Rémi DAVID, Lava)
- je suis un chien domestiqué
- auteur irakien, giacometti, grenadier
- enfant, je me suis façonné des fantômes.De toute sorte. De bandes-dessinées, un peu ridicules, grotesques. Certains font peur car ressemblent à des zombies dévorants. Le plus vieux souvenir "réaliste", un documentaire sur les châteaux écossais. Les fantômes n'ont pas eu de sépulture, ils attendent. Il n'y a pas là de terreur
- je pars d'un paradigme (faux ?) qui veut que ceux qui utilisent la langue à contresens ou approximativement, le font sciemment et à des fins malveillantes
- Arles, Jean Prouvé. Immeubles protégés rue de Bellevue, Paris 19.
- apocryphes chrétiens, Pléïade
- chipperfield
- atonalisme et après, J. DUCROS
- le monde est ce qui vient à notre perception et l'analyse qu'on en fait. La connaissance reste fragmentaire. Réalité inconnaissable
- le complotisme ne naît-il pas de l'éveil critique ? En est-il un corollaire ?
- insomniaque dans la fatigue où la nuit me plonge
- on ne pense jamais négativement que le manque. On ne pense jamais négativement le fait d'avoir
- elle se sent bien avec la personne auprès de laquelle elle peut se taire.
- fonction archive de l'écriture
- rocade glacée de pluie piste de danse
- le chiffre, c’est comme une lettre dans un nombre, par exemple, le i dans 10.
- Meirieu, vidéo sur l'expérience de Jacotot.
- Vous qui entrez ici, abandonnez tout espoir
- douillet, manque parfois de vie. Album resserré, certaine pompe. petites comptines. Générique
- j'aime le son de ce mot
- en voulant cerner le kitsch, Adorno met le doigt sur le bourgeois et le snob. Réflexion sur l'acquisition des codes bourgeois, de leur mode, de leurs marques par les milieux populaires
- la poésie aime aussi nicher dans la crasse
- ils restent décidément le carburant de ma vie
- si le sol était en poils de chat, on aurait au moins 10 cm de neige
- lettre de Gauss à Sophie Germain
- rien ne change ou si peu. Retour, Algiers, Mme Rieux
- L'amour ne fonctionne que si on croit au renouvellement de la croyance d'éternité, enfin, de l'éternité de notre vie
- l'important, c’est la formation... Ras le cul, de cette phrase
- Très vite, j'ai pensé la popularité en antériorité. Elle avait qqch de patrimonial.Donc, qqch d'ancien. Il y avait dedans des valeurs morales, donc des valeurs de mort. On ne la donnait pas du jour au lendemain. Il n'y avait aucun avenir à aimer ce qui était déjà aimé par tous. sinon à aimer qqch de mort..
- acédie démon de midi difficulté à persévérer
- carottes, navets, rutabaga, découper de gros morceaux, enrober d'huile, herbes de provence, trois têtes d'ail coupées dans la largeur, recouvrir de miel et de gruyère
- hypostase : principe absolu, au-dessus des autres (concept)
- poésie, chienne astrale. Errance entre Verlaine et Bukowski
- tout ce qui porte un nom brûle