Depuis février
- puissance outrancière des émotions vécues dans les rêves
- Le lieu, l'espace, chez Bachelard
- Il y a du jouir dans le penser, et en cela il y a la mort
- Mes parents ? Ils s'appellent papa et maman
- Quel était le nom de ces marionnettes javanaises ?
- mes grands parents me prennent pour un prunus
- Lydia Goehr : le musée imaginaires des oeuvres musicales ; politique de l'autonomie musicale
- grand moment de vie : entendre son enfant vomir au téléphone
- Le Cid : bouleversé par le texte. Retour, Son Lux, Remedy
- Hommes et femmes deviennent obèses. Les hommes de trop boire, les femmes de trop bouffer
- je connais trop bien les gens comme vous... Quelle réflexion de conne
- "on ne se raconte pas une histoire seulement à soi. Il y a toujours un autre. Même quand il n'y a personne". Atwwod, la servante écarlate
- On peut parfois porter nos paysages comme des fardeaux
- Etre un meuble, c'est être unique à des milliers d'exemplaires. Comme un meuble, on prend le volume que nous offre le décor
- Inverser la question : pourquoi Néandertal a disparu, en "pourquoi Sapiens est le seul survivant?"
- Les sept dernières paroles du Christ sur la Croix
- Le concept du visage du fils de Dieu, Feu ! Chatterton, Cowboys fringants, soirée jeux, soirée électro. Assez pour une semaine !
- Clone Zone
- Tchaikovski, sextuor à cordes, souvenir de Florence
- Ne cesse-t-on jamais d'avoir peur de ce qui nous attire ?
- On peut mourir d'illusion
- Aucune réalité ailleurs que dans la surface mouvante de l'importance que nous donnons à ce qui brûle à l'intérieur de nous et son interaction avec l'extérieur
- "Ca va se jouer au mental, c'est les couilles qui vont parler"...haaa
- Marie Richeux, Achille : "Une petite pute de tristesse marche sur les trottoirs désormais ensablés de la ville, qui n'est plus ma ville, mais la nuit devenue nôtre. Une petite pute de tristesse bien séduisante, bien commode, qui vient là, dans le creux qu'offre le triangle clavicule-épaule-cou.Je l'accueille. Je suis triste. Je me glisse dans les larmes qu'Achille a coutume de faire couler doucement et qui ne sont pas les miennes".
- "la journée du travail, c'est la journée des travailleurs, ce n'est pas la journée des casseurs." Haaaa
- Le faux est-il un moment du vrai ? L'élément résistant digéré par la dialectique ? Un argument du vrai ?
- Nivellement de la société des droits de l'homme. Droit. Homme. Individuation. Infantilisation. Où le désir et l'égo deviennent droit, où la société disparait "mon désir de hurler la nuit dans la rue devrait devenir mon droit de hurler la nuit en pleine rue".
- ventusky
- Avengers, cinéma cathartique ?
- Elle me demande "je pourrai venir avec lui ?". Et ouvre des yeux incrédules quand je réponds "si tu vis encore avec lui, bien sûr, si c'est quelqu'un d'autre, il peut venir aussi". Jour après jour, nous assistons, nous prouvons la versatilité de nos affections amoureuses, mais nous voulons continuer de croire et faire croire à la durabilité, l'éternité de la chose. Goût enfantin pour les contes ? Interroger la persistance de cet anachronisme
- Adèle s'épuise sur ses maths. "L'année prochaine, en Terminale S, ça donnera quoi ?J'y passerai encore plus de temps ? Mais j'aurai aussi plus d'heures de théâtre..." Réponse : "mais tu rêves, la priorité, c'ets le bac, le théâtre, ce sera si le reste marche, on le supprime s'il le faut". Elle tremble, elle pleure. C'était pourtant dit sur le ton de la plaisanterie...Elle vient de révéler une priorité, une passion.
- Partir sans téléphone
- Le monde est à peine plus petit. Les outils de com ne sont pas des outils d'apprentissage. J'ai beau avoir 1000 fois vu 1000 photos de l'Australie, et converser 1000 fois, et jouer 1000 fois avec des australiens, je ne sais toujours rien sur eux.
- Le sommeil comme une altérité. Est-ce que c'est vraiment ça, la peur du sommeil ? Ou bien repoussons-nous le sommeil car nous restons en veille comme les prédateurs que nous sommes ? Avons-nous peur en dormant de devenir la proie de ceux qui veillent ?
- Eloge de la fatigue ?
- "Le cri creux des grues". Ca me parle.
- nykelharpa
- On ne dépasse plus jamais le sensible. L'accélération du temps nous invite à réagir, pas à réfléchir. La réflexion est le domaine de l'intelligible.
- Petite réjouissance matinale dans le capharnaüm d'une salle de restauration. Devant moi, dans le fouillis de verdure planté comme argument d'agrément psedo-écolo lors des édifications immobilières, remarquer un magnolia et un poivrier magnifiques.
- Cynthia, croire et savoir, jeu de rôle ? Pièce de théâtre ?
- Pourquoi y a-t-il toujours des barques à accoster aux rivages de l'amour?
- Mettre des banquettes dans l'espace classe, possibilité de s'asseoir par terre, véléda sur les tables, panneaux de plexiglas, utiliser l'espace extérieur, espace autonome comme 4è lieu, Xavier Garnier-Eric Hitier
- Couple comme plus petite communauté. L'un est archive de l'autre
- Le divorce est-il devenu le seul moyen de devenir adulte ? Quand on reste adolescent même avec des enfants, le seul moyen d'assumer grandir, c'est assumer les enfants des autres, comme tuteur et organisateur, être à la hauteur de ce nouvel autre en épanouissant enfin une nouvelle autorité.
- Football : patriotisme de tête de gondole
- La mort d'un oiseau : enterrement définitif et résilient de l'autre Dominique A, celui du COURAGE des oiseaux, écrit 20 années auparavant.
- Pourquoi ne font-ils pas de révolution ? Parce que quoi qu'ils fassent, ils regardent tous dans la même direction, celle de la télé (d'un écran, plus largement)
- Elie Wiesel reste "prisonnier" de l'idée des camps, de la réflexion sur ce qui est bien pour toute cette génération "horizon indépassable du nazisme". Cette génération : ceux qui ont choisi de faire vivre cette mémoire et débusquer toute sa réalité. Nécessité de faire vivre la mémoire pour que les choses ne se reproduisent plus au risque de vivre arrêté à un moment de l'histoire. Quel est le rôle et l'impact de la transmission vers une génération qui n'a pas vécu ?
- Nausicaa, aquarium de sensibilisation aux enjeux écologiques marins. Mais, dans ce même lieu, loisirs et sensibilistion. Inaudible. Parfaitement antinomique. Lorsque je consomme, j'oublie la gêne, l'urgence, la peur. Le public ne fait qu'un usage du lieu.
- Je lui dis, "champions du monde, ça va, c'est pas l'événement d'une vie, on l'a déjà été en 1998, c'est pas si loin". Pour lui, vingt ans, c'était il y a une vie.